http://www.vnunet.fr/fr/news/2008/03/26/reseaux_sociaux___facebook_a_la_recherche_de_la_poule_aux__ufs_d_or
La publicité fait vivre beaucoup d’entreprise sur Internet, mais souvent le but n’est pas d’en vivre mais de s’en faire des fortunes.
Ainsi, on pourrait largement pensé qu’étant donnée la valeur marchande du site Facebook, les revenus publicitaires de celui-ci devraient être énormes.
Facebook se porte bien, rattrape son rival bien présent depuis plusieurs année : Myspace avec quelques 100 millions de visiteurs uniques dans le monde lors du mois de janvier. Cependant, tout ne semble pas rose pour Facebook et quelques signe ne trompent pas :
- les visiteurs semblent avoir tendance (déjà) à se lasser
- trop d’application viennent embrouiller les adeptes initiaux et Facebook n’a plus vraiment de but ni de vision, il semble se disperser
Cela se traduit par des connections irrégulières et plus rares.
Facebook reste une formidable réussite qui vaut tout de même 15 milliards USD et compte 50 millions d'inscrits mais cette formidable audience rapporte encore très peu en terme de revenus publicitaires.
Depuis quelques temps, il y a la les publicités comportementales, c’est à dire s’adaptant aux profils des membres. Facebook a signé des accords avec de nombreux sites commerciaux mais les utilisateurs s’opposent régulièrement à tout ce qui est publicité et utilisation des données à des fin publicitaires. Or, c’est là dessus que repose le business Facebook….
Face à cette opposition, Facebook a donc modifié mais pas arrêté son système. Le site offre maintenant un meilleur contrôle sur la transmission de leurs informations à leurs contacts et sur la transmission d'informations personnelles lors de la visite de pages commerciales.
La publicité fait vivre beaucoup d’entreprise sur Internet, mais souvent le but n’est pas d’en vivre mais de s’en faire des fortunes.
Ainsi, on pourrait largement pensé qu’étant donnée la valeur marchande du site Facebook, les revenus publicitaires de celui-ci devraient être énormes.
Facebook se porte bien, rattrape son rival bien présent depuis plusieurs année : Myspace avec quelques 100 millions de visiteurs uniques dans le monde lors du mois de janvier. Cependant, tout ne semble pas rose pour Facebook et quelques signe ne trompent pas :
- les visiteurs semblent avoir tendance (déjà) à se lasser
- trop d’application viennent embrouiller les adeptes initiaux et Facebook n’a plus vraiment de but ni de vision, il semble se disperser
Cela se traduit par des connections irrégulières et plus rares.
Facebook reste une formidable réussite qui vaut tout de même 15 milliards USD et compte 50 millions d'inscrits mais cette formidable audience rapporte encore très peu en terme de revenus publicitaires.
Depuis quelques temps, il y a la les publicités comportementales, c’est à dire s’adaptant aux profils des membres. Facebook a signé des accords avec de nombreux sites commerciaux mais les utilisateurs s’opposent régulièrement à tout ce qui est publicité et utilisation des données à des fin publicitaires. Or, c’est là dessus que repose le business Facebook….
Face à cette opposition, Facebook a donc modifié mais pas arrêté son système. Le site offre maintenant un meilleur contrôle sur la transmission de leurs informations à leurs contacts et sur la transmission d'informations personnelles lors de la visite de pages commerciales.
Mais la raison pour laquelle Facebook n’est pas le nouveau Google est son modèle économique car il lui manque le système de « AdWords" et de publicité contextuelle de Google. Certes Facebook n’est pas un moteur de recherche et la monétisation d’un tel service est loin d’être évidente.
C’est le même constat pour le service de messagerie offert qui ne semble pas devenir quelque chose d’utilisé donc de rentable car très très limité dans ses fonctions. Contrairement à Gmail, Yahoo, AOL… qui offrent un stockage illimité, répertoire d’adresses, calendrier, cela permet de faire de la publicité et d’orienter les utilisateurs vers des pages plus lucratives.
La dernière menace est que les annonceurs sont souvent des entreprises peu renommés et que le marketing est plûtot viral par l'intermédiaire des groupes etc...
L’avenir de Facebook est-il donc à court terme, moyen terme… long terme ???
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