Fin de session...

Snif snif, la session est déjà finie...

Que retenir comme enseignement? Tout d'abord, avoir un blog n'est pas dur, très intéressant et réjouissant même. Cependant, l'entretenir est autrement plus difficile...

J'espère que les lecteurs de ce blog auront apprécié les informations que j'ai fait parvenir.

Il faut également voir le bon côté des choses, un blog ne meurt jamais, fin de session ou pas. J'essaierai donc de l'alimenter du mieux que je peux, sachant que ce qui est motivant dans un blog est qu'il soit lu... je compte donc sur vous et n'hésitez pas à cliquer qur les Google Ad, ca me fera de l'argent ;-)
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Etude sur les outils de fidélisation

http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=25079

La fidélisation est un élément incontournable du e-marketing et des nombreuses techniques sont mises en place à ce sujet.

D’après une étude de TelTo Luna :

- Plus de 61% des internautes disent être inscrits ou abonnés à un programme de fidélité et informés par e-mail,

- 35% à un programme de fidélité et informés par courrier postal,
- 58% à des newsletters de sites marchands ou d'information,
- 8% à des flux RSS
- 15% à aucun programme.

Autre enseignements de cette étude:

- 46% ont reçu entre un et dix e-mails promotionnels au cours des dernières 48 heures,
- 23% entre six et quinze courriers postaux,
- 28% entre un et cinq appels ou SMS sur mobile


On constate donc que la pression par e-mail est très forte car peu dispendieuse et elle permet de toucher un très large public. Le plus est donc le mieux et peu importe le ciblage parfois.

Voici le comportement des internautes à la lecture de ces e-mails :

- 41% des interviewés disent que cela les énerve souvent, mais ils les trient et en mettent quelques-uns de côté,
- 31% trouvent qu'il y en a vraiment trop et les mettent presque tous à la poubelle
- 22% des sondés que ces messages ne dérangent pas, car ils y trouvent parfois des offres intéressantes à utiliser;
- 6% disent même apprécier de recevoir des offres qui leur permettent de faire leur choix et qu'ils les consultent toutes.

Le comportement est donc complexe mais on ne peut pas dire ouvertement qu’il soit négatif. Il est plutôt entré dans les mœurs des internautes au même titre que la publicité TV.

Cette étude nous apprend aussi que la conquête de nouveaux clients coûte 3 à 6 fois plus cher que la fidélisation, pourquoi se priver ?… D’où le développement des techniques (programmes à points, packages, clubs, jeux/loteries, parrainage...).

Il va donc falloir s’habituer à voir nos boîtes mails infestées dès lors que l’on fait une inscription en ligne…
…à mois que vous ne lisiez mon billet sur Yopmail ;-)

Marketing viral de Nike

Voilà la vidéo qui tourne beaucoup sur Youtube actuellement.

Elle met en scène Kobe Bryant, la star de la NBA et est faite façon vidéo "maison" ce qui renforce le Buzz autour de ce lancement...

Nike passe aussi au marketing viral

http://the-raw-prawn.blogspot.com/2004/11/nikes-viral-marketing.html

Nike a recruté le créateur de la bande dessinée "la fin du monde" pour créer trois dessins animés "publicité".

L'idée du marketing viral est de créer une annonce que les internautes aiment tant qu'ils la transmettre à leurs amis qui la transmettent ensuite à leurs amis (d'où le terme de "virale").

Le marketing viral peut être un excellent rapport coût-efficacité pour la consolidation d'image de marque, car le seul coût est dans l'annonce du développement et pas l'achat d'espaces...

Il est plus efficace chez les jeunes, ce qui correspond donc en grande partie au positionnement de Nike. De plus, la rotation de la vidéo sera plus rapide avec les e-mails et surtout les messageries instantanées.

Pour qu'une campagne virale soit efficace, elle doit être drôle, mais aussi dynamique, montrer des choses qui ne pourraient pas l'être à la TV par exemple.

"Astuce" sur youtube et vidéo comique sur le marketing viral

Ce billet a une double fonction: vous montrez une petite vidéo sympathique sur le marketing viral et vous montrez quelque chose que j'ai appris, cela peut vous être utile si vous ne savez pas comment...

...télécharger une vidéo sur Youtube???

Personnellement je ne savais pas et cela peut s'avérer pratique et c'est très simple! Suivez les étapes:

1. Allez sur Youtube
2. Choisissez une vidéo
3. Copier l'URL
4. Allez sur http://vixy.net/
5. Coller le lien
6. Cliquez sur start et télécharger votre vidéo au format AVI

J'espère que ca vous sera utile!

Voici le résultat (en espérant que ca marche...):

Voici le lien youtube au cas ou...

http://www.youtube.com/watch?v=vj29qmLnBiE&feature=related

Lutter contre le spam: une adresse e-mail jetable

C'est désormais possible grâce au site http://www.yopmail.com/. Le principe est simple, vous créez votre adresse sur le site sous le modèle cequevousvoulez@yopmail.com et vous avez une adresse disponible pour 5 jours seulement!

L'avantage de ce service? Tout simplement lutter contre les spams et autres publicités intempestives que requièrent certaines inscriptions, forums et autres formalités nécessitant (inutilement) votre e-mail.

Cela ne révolutionne pas l'internet mais peut tout de même être utile pour lutter contre le polluriel.

La fixation du prix sur Internet en 3 points clés

http://www.rdee.ca/index.cfm/2,0,1310,7580,0,0,html?action=display&BoxID=7406&LangID=2&KindID=10&complete=yes

Cette article nous explique qu'une stratégie de fixation des prix en e-commerce doit respecter 3 règles fondamentales qui sont la capacité de précision, la capacité d'adaptation et la capacité de segmentation.

• La précision permet à l'entreprise de connaître la marge de manœuvre qu'elle possède pour fixer ses prix, sans que les consommateurs n'aient de fortes réactions. Cela permet ainsi de gérer le volume et la rentabilité de l'opération.

• L'adaptation permet de gérer l'offre et la demande en tenant compte des stocks, de la disponibilité et de la demande pour le produit. De plus, le changement de prix sur internet n'engendre pas de coûts comme en magasin (ré-étiquetage, main d'oeuvre...)

• La segmentation permet de cibler une catégorie de clients ou encore un consommateur spécifique si l'on pense par exemple à la customisation des produits (Nike ID, Mini...) où les marque proposent des produits sur mesure à des prix identiques à ceux des points de vente.

Internet permet donc de faire des économies sur certaines fonctions que les entreprises compensent par des services complémentaires. La fixation du prix converge donc avec le principe du " sur-mesure de masse ".

Matérialisation et dématérialisation des produits

Avec la numérisation, un nombre de plus en plus important de produits se dématérialisent. Cela a pour conséquence que le contenu n'est plus rattaché à un support traditionnel. Par support traditionnel nous avons vu la trasition de la cassette au DVD et même au DVD HD; du disque à la cassette au CD et au mini disc (un flop!).

Par exemple : avoir l'album de son artiste favori ne signifie plus forcément posséder un disque...mais avoir en stock des données numériques "immatérielles" lisibles grâce à divers appareils du type ordinateur ou baladeur MP3...

Ainsi, le rapport entre la donnée et le support a changé au même titre que le rapport contenu/contenant.

La dématérialisation de la musique touche donc le support mais l'intermédiaire de lecture est toujours nécessaire pour restituer le contenu et là où l'industrie de la musique est en peine, les entreprises qui créent ses lecteurs profitent pleinement de la situation...

De manière générale, il y a du positif et du négatif. En avantage on peut citer l'allégement matériel, une plus grande mobilité et une facilité de l’échange . Aussi, un fractionnement de la musique qui répond mieux aux attentes des consommateurs.

Cependant, sans entrer dans le débat du téléchargement illégal, on peut souligner le besoin de suréquipement qui créé une certaine égalité (surtout au niveau mondial), et la dépendance accrue à l'Internet.

Le moins que l'on puisse dire est que les distributeurs se sont adaptés à cela en offrant un double circuit de distribution, numérique et physique.

Wikipédia: de l'internet au papier... et Quid, du papier à l'internet!

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2008/04/23/une-version-papier-de-l-encyclopedie-wikipedia-va-etre-publiee-en-allemagne_1037653_651865.html

Important changement pour l'encyclopédie collaborative en ligne Wikipédia! En effet, cette dernière pourrait bientôt voir le jour en format papier.

Le groupe Bertelsmann a en effet indiqué, qu'il allait publier en septembre 2008 une version papier de 50.000 articles en langue allemande de l'encyclopédie.

Ces articles, qui ne représentent que 7 % de l'ensemble des documents que comporte la version allemande de Wikipedia, seront choisis parmi les plus recherchés sur le site et feront l'objet d'une vérification avant publication.

Ces 990 pages seront vendues 19,95 euros. Bertelsmann, qui comme tout un chacun peut accéder sans frais à ce contenu et le reproduire, s'est toutefois engagé à reverser 1 euro symbolique à la Wikimedia Foundation, l'association à but non lucratif de Wikipedia. Si cette première édition est un succès, cette opération devrait être renouvelée tous les ans.


A l'inverse, dans le même temps, Robert Laffont en France a annoncé qu'il arrêtait la parution du Quid au format papier pour privilégier le Web!

Surprenantes nouvelles donc, symbolique de la dématérialisation pour l'un et de la "matérialisation" pour l'autre. Toujours est-il que l'on peut se questionner sur l'intérêt de produire des encyclopédie Wikipédia. Il s'agit peut être d'un bon coup de pub pour générer un peu plus de trafic et aussi un moyen de toucher une nouvelle cible. Pour Quid cela révèle en revanche la crise qui touche l'industrie du livre...

La publicité sur Facebook

http://www.vnunet.fr/fr/news/2008/03/26/reseaux_sociaux___facebook_a_la_recherche_de_la_poule_aux__ufs_d_or

La publicité fait vivre beaucoup d’entreprise sur Internet, mais souvent le but n’est pas d’en vivre mais de s’en faire des fortunes.
Ainsi, on pourrait largement pensé qu’étant donnée la valeur marchande du site Facebook, les revenus publicitaires de celui-ci devraient être énormes.

Facebook se porte bien, rattrape son rival bien présent depuis plusieurs année : Myspace avec quelques 100 millions de visiteurs uniques dans le monde lors du mois de janvier. Cependant, tout ne semble pas rose pour Facebook et quelques signe ne trompent pas :
- les visiteurs semblent avoir tendance (déjà) à se lasser
- trop d’application viennent embrouiller les adeptes initiaux et Facebook n’a plus vraiment de but ni de vision, il semble se disperser
Cela se traduit par des connections irrégulières et plus rares.

Facebook reste une formidable réussite qui vaut tout de même 15 milliards USD et compte 50 millions d'inscrits mais cette formidable audience rapporte encore très peu en terme de revenus publicitaires.
Depuis quelques temps, il y a la les publicités comportementales, c’est à dire s’adaptant aux profils des membres. Facebook a signé des accords avec de nombreux sites commerciaux mais les utilisateurs s’opposent régulièrement à tout ce qui est publicité et utilisation des données à des fin publicitaires. Or, c’est là dessus que repose le business Facebook….
Face à cette opposition, Facebook a donc modifié mais pas arrêté son système. Le site offre maintenant un meilleur contrôle sur la transmission de leurs informations à leurs contacts et sur la transmission d'informations personnelles lors de la visite de pages commerciales.

Mais la raison pour laquelle Facebook n’est pas le nouveau Google est son modèle économique car il lui manque le système de « AdWords" et de publicité contextuelle de Google. Certes Facebook n’est pas un moteur de recherche et la monétisation d’un tel service est loin d’être évidente.

C’est le même constat pour le service de messagerie offert qui ne semble pas devenir quelque chose d’utilisé donc de rentable car très très limité dans ses fonctions. Contrairement à Gmail, Yahoo, AOL… qui offrent un stockage illimité, répertoire d’adresses, calendrier, cela permet de faire de la publicité et d’orienter les utilisateurs vers des pages plus lucratives.

La dernière menace est que les annonceurs sont souvent des entreprises peu renommés et que le marketing est plûtot viral par l'intermédiaire des groupes etc...

L’avenir de Facebook est-il donc à court terme, moyen terme… long terme ???

Augmenter la participation d'un sondage Online

Voici quelques trucs et astuces pour augmenter le taux de réponse des sondage en ligne.

- Etre bref: un sondage court fait moins "peur" au sondé qui prendra plus le temps de répondre, il faut donc bien cibler les réponses voulues.

- Proposer des incitations financières (bons d'achats, ristournes…) pour chaque participation ou sous forme de loterie (hasard).

Exemple de lots intéressants :

(inconvénients: gagner devient le but et les réponses ne sont plus ou moins utilisables)

- Offrir des incitations non monétaires (stylos, bloc-notes) ou des plus beaux cadeaux mais sous forme de loterie également.

- Impliquer le répondant en le persuadant qu'il peut faire la différence et que son avis compte beaucoup (jouer sur l'orgueil).

- Personnaliser la formulation pour que le sondé ait l'impression que seul son avis compte.

- Assurer le suivi des réponses et relancer (online).

- Revendiquer une affiliation avec des universités, des instituts de recherche ou les organismes de bienfaisance pour jouer sur le côté émotionnel et sympathique.

- Garantir l'anonymat

- Proposer une mise en page novatrice pour attirer l'attention

Faites vivres vos sondages!!!

Petite information complémentaire sur la popularité des moteurs de recherche

L'utilité des bannières publicitaires et référencement

http://www.indexel.net/1_6_5149__3_/15/91/1/La_publicite_ne_genere_que_20___du
_trafic_des_sites_web.htm

http://www.neteco.com/134218-xiti-penche-origine-trafic-sites-web.html

Ces articles traitent à la fois de l'importance du référencement et aussi de l'efficacité des baneaux publicitaires dont nous sommes harcelés lors de nos navigations sue le web. En effet, leur agressivité semble aujourd'hui ne plus faire effet et les internautes préfèrent fréquenter les "liens intelligents". Par cela on entend les lien sur le sites partenaires qui finalement renvoi l'internaute d'un site à l'autre SANS passer par le moteur de recherche.

Exemple de bannière:

La grande question pour toute entreprise ayant son site Internet est :

• Comment générer du trafic?
• Quelles techniques mettre en œuvre pour doper son nombre de visiteurs, de pages vues, ses commandes en ligne et ses revenus ?

Les chiffre d'une étude de Xiti nous aident à y voir plus clair:

• 80 % des visites sur les sites web sont "naturelles"

è Sur ces 80 % de visites, 1/3 des visites sont générées par les moteurs de recherche, un autre tiers par la saisie directe de l'adresse url du site, et 13,3 % par les liens non publicitaires de site à site

Lien sponsorisé:

• 20 % proviennent des différentes formes de publicités en ligne : e-mailing, bannières publicitaires, liens sponsorisés et autres.

è Ces 20 % sont composés à 12,2 % par les liens sponsorisés des moteurs de recherche et à 2,4 % par les campagnes e-mailing. Les bannières génèrent à peine 2,1 % du trafic, l'affiliation 1,9 % et les flux RSS 0,1%. Ces techniques étant encore trop méconnues.

On peut donc se demander si le spam et la surabondance de publicité tape à l'œil n'ont pas fait leur temps. En effet, les visites les plus complètes (en termes de nombre de pages visitées) sont issues des accès naturels (moteurs de recherche, favoris, saisie directe de l'adresse de la page, etc.) et non des différentes formes de publicité en ligne.

Cependant, peut on se passer de la publicité en ligne qui anime nos pages Internet lors de nos navigation? Cela revient finalement au même que la publicité télévisuelle qui est à la fois agaçante mais fait aussi inconsciemment partie de nos habitudes et qui créerait un manque si elle n'existait pas!